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Pourquoi moi?

Pourquoi moi ? Dans la chaîne de la vie animale, la règle du plus fort est le plus souvent appliquée. Le plus faible sert de pâture au plus fougueux, au plus prompt à saisir sa proie, mais il s’agit là de la chaîne alimentaire. Pour les humains, il ne...

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Pourquoi j'écris...

Il est des histoires que l’on ne peut oublier parce qu’elles semblent irréelles ou vous brûlent en plein cœur comme un poison mortel…vous vous demandez : Pourquoi ? Comment ? Pour connaître et analyser les faits de la guerre 1939-1945, les écrits et les...

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pensée sur l'identité française

Certains pensent que démocratie et liberté sont synonymes alors que démocratie signifie un régime de gouvernement dans lequel le peuple est souverain ; voter librement est la seule liberté que l’on peut donner à un peuple, ne compromettons pas, par bon...

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souvenirs de Monowitz

Je me retrouvais allongé sur le sol de cette grande place de l’appel recouverte de granulats de mâchefer pilé, d’un noir affreux, encore plus noir lorsque le ciel était bas, que les brumes rendaient boueux jusqu’à devenir cloaque, exhalant un remugle...

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sur l'identité nationale

Sur l’identité nationale Il n’y a pas plus de race « arabe, française, juive, blanche ou noire » que d’autres races humaines ; Il n’en est qu’une, avec ses diverses composantes ethniques. Certains voudraient faire porter à une certaine partie de la population...

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ombre et lumiére

Edmond Rostand : « c’est la nuit qu’il est bon de croire en la lumière. Dans l’Evangile de St Jean : « la lumière luit dans les ténèbres mais les ténèbres ne l’ont point perçue ». * * * Dans l’obscurité de la fin des années moyenâgeuses et des décennies...

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L’HOMME ET LE SABLE

L’homme était allongé sur les sable. Ses yeux, légèrement bridés à cause du soleil éclatant, regardaient cette immensité unicolore presque identique jusqu'à l’horizon. La chaleur, la légère brise jointe à l’effet du relatif vide mental, lui avait donné...

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Drancy

Après mon arrestation par la Gestapo, j’ai passé quelques jours à la Maison d’arrêt de Mende, puis nous fûmes transférés à la Maison centrale de Montpellier où j’ai passé quelques jours. C’est menotté aux poings comme des criminels de grand chemin, convoyés...

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